ACTUALITÉS et RÉFLEXIONS SUR L'ORTHODOXIE:
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Vladimir GOLOVANOW
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L'ORTHODOXIE EST PLUS VISIBLE EN FRANCE  Empty L'ORTHODOXIE EST PLUS VISIBLE EN FRANCE

Mar 8 Oct - 19:26
ÉTUDE SUR L’EXPRESSION ET LA VISIBILITÉ RELIGIEUSES DANS L’ESPACE PUBLIC AUJOURD’HUI EN FRANCE

L'ORTHODOXIE DEVIENT VISIBLE:

Vladimir GOLOVANOW: ÉTUDE SUR L’EXPRESSION ET LA VISIBILITÉ RELIGIEUSES DANS L’ESPACE PUBLIC AUJOURD’HUI EN FRANCE  Rappor10

Dans le "Rapport personnel des français à la religion et aux convictions: chiffres clés", publié en juillet 2019 par "l'Observatoire de la laïcité"*, on constate (voir schéma) que les personnes «Se sentant lié à l’Orthodoxie»/«Se déclarant Orthodoxe» représentent 1% de la population, soit autant que le Judaïsme, derrière le Bouddhisme (2%), l'Islam et le Protestantisme (3% chacun) et, bien évidement le Catholicisme (48%). Les personnes proches du Christianismes représentent ensemble plus de 50%, contre 31% de non-croyants ou athées ...

L'ORTHODOXIE EST PLUS VISIBLE EN FRANCE  Rappor11

Cette étude note ainsi clairement que l'Orthodoxie est devenue visible en France, et c'est relativement nouveau. 1% de la population correspond aux derniers chiffres donnés par différents experts, qui estiment les Orthodoxes baptisés à 5-700 000 en France et la multiplication par plus que deux du nombre des paroisses orthodoxes depuis un demi-siècle contribue bien à cette nouvelle "visibilité religieuses dans l’espace public aujourd’hui en France" dont parle l'article. À Lyon, par exemple, le nombre de paroisses orthodoxes a pratiquement triplé...Le nombre de ses adeptes et des personnes qui s'en disent proches a clairement augmenté durant ces trente dernières années face à la sécularisation que montre la hausse constante du nombre de personnes se déclarant «athées», «agnostiques» ou «indifférentes», aux dépends des religions dominantes traditionnelles qui subissent principalement la baisse des personnes se déclarant appartenir à une religion donnée.

Source: https://www.gouvernement.fr/rapport-des-francais-a-la-religion-et-aux-convictions-chiffres-cles

AUGMENTATION DE LA VISIBILITÉ ET DE L’EXPRESSION RELIGIEUSES

"L'Étude sur l’expression et la visibilité religieuses dans l’espace public aujourd’hui en France" (ibid.) constate que cette sécularisation n'empêche pas des "crispations suscitées par l’augmentation de la visibilité et de l’expression religieuses qui s’est confirmée durant ces trente dernières années," mais tempère ce constat car il s'agit en fait de "l'activité de certains croyants de toutes les religions, et plus particulièrement de l’islam pour la visibilité, et du protestantisme évangélique pour la pratique et le prosélytisme," qui donnent une impression plus générale de regain du religieux.

Il ressort de cette étude, continue le rapport, que les causes en sont nombreuses et souvent croisées : installation en France métropolitaine de religions auparavant « étrangères » à l’hexagone, redéploiement des religions dans une société profondément sécularisée, expressions religieuses multiples répondant à différentes constructions identitaires personnelles – en particulier dans les quartiers populaires à faible mixité sociale – et à l’affaiblissement d’idéologies séculières, emprunts et répudiations entre société d’origine et société d’accueil, refuge sécurisant de la religion face aux incertitudes par rapport à demain (écologiques, économiques, sociales et politiques), présentation inégale des expressions religieuses par des prescripteurs d’opinion, etc.


En somme, conclu l'étude, il s'agit plus d'un « recours au religieux » et un retour de la visibilité religieuse plus qu’un «retour du religieux» en général.


* Commission consultative française chargée de conseiller et d’assister le Gouvernement quant au respect et à la promotion du principe de laïcité (https://fr.wikipedia.org/wiki/Observatoire_de_la_la%C3%AFcit%C3%A9)


Dernière édition par Vladimir GOLOVANOW le Mar 22 Oct - 9:57, édité 1 fois
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VEILLAT Didier
Invité

L'ORTHODOXIE EST PLUS VISIBLE EN FRANCE  Empty Re: L'ORTHODOXIE EST PLUS VISIBLE EN FRANCE

Mar 8 Oct - 19:28
Dans les années 1970, le nombre d'orthodoxes en France était nettement plus bas. L'immigration récente et la conversion de personnes en soif de vérité permet à notre confession d'atteindre un effectif appréciable. La paroisse orthodoxe de Montbrison (Loire) voit l'effectif de ses fidèles augmenter sensiblement.

D'un point de vue pratique à ne pas négliger, on constate un maillage plus serré des paroisses réparties sur notre territoire. C'est aussi une bonne nouvelle.

Cependant, le nombre de chrétiens pratiquants reste modeste. Il y a un vrai travail d'évangélisation à mettre en oeuvre. Quand on se rend à Taizé, on est surpris par le nombre de personnes qui disent ignorer ce qu'est la Trinité! C'est déjà au moins une bonne raison d'y aller, même si certaines pratiques sur place défraient nos habitudes et la puissance liturgique à laquelle nous sommes habitués.
Quant aux chrétiens orthodoxes en France, la pratique est plus importante: on n'est pas orthodoxe en France par simple naissance ou par "culture du sol". Ou l'on est converti, ou l'on provient d'une histoire porteuse. Les fidèles sont en général bien impliqués autant que je puisse en juger sur ma région.

Merci de votre lecture.
En XC
Didier Veillat
Vladimir GOLOVANOW
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L'ORTHODOXIE EST PLUS VISIBLE EN FRANCE  Empty DE 175 A 500 000 ORTHODOXES EN FRANCE?

Mer 9 Oct - 17:23
DE 175 A 500 000 ORTHODOXES EN FRANCE?

J'avais publié la petite recherche qui suite en 2014 et elle n'a pas beaucoup vieilli (quelques évêques ont été remplacés ou ajoutée). Au contraire, le "Rapport personnel des français à la religion et aux convictions: chiffres clés", publié en juillet 2019, dont je parle dans mon post précédent, vient plutôt conforter les tendances repérées: l'Orthodoxie est de plus en plus visible grâce au maillage plus serré des paroisses réparties sur notre territoire, comme l'écrit Didier Veillat. Et aussi grâce à la persistance de l'émigration en provenance des pays orthodoxes car c'est essentiellement ''suite aux récents apports d’une immigration diversifiée'' que le nombre d'Orthodoxes s'accroit en France ("l'Annuaire de l’Église Orthodoxe de France") comme dans les pays voisins. Même si Olivier CLÉMENT parle ''d'une pléiade d'hommes jeunes dont -signe des temps -aucun n'est d'origine russe'' (citation complète à la fin de l'article), il ne s'agit que d'une petite minorité que le p.Serge Model évaluait à environ 3% des Orthodoxes dans nos pays (http://www.archiepiskopia.be/old/Fra/bibliotheque/Model/model_mission_belge.htm), mais dont l'activité et la présence au sein des paroisse et dans le clergé dépasse nettement le poids numérique.

DIFFÉRENTES ESTIMATIONS

Il est très difficile de dénombrer les Orthodoxes en France car, contrairement à des pays comme l'Allemagne ou les Etats Unis, il n'y a pas statistiques publiques recensant l’appartenance religieuse (le dernier recensement officiel date de 1872 et il est interdit de poser cette question) et, comme les chiffres sont faibles, toujours inférieurs à 1% de la population, il n'est pas possible de se baser sur des sondages. De plus il n'y a pas de définition universellement admise et le concept le plus généralement appliqué considère comme Orthodoxes les personnes baptisées et chrismées dans l'Orthodoxie. Cette définition est en partie discutable, puisque parmi ces personnes là certains ont pu changer de confession ou de religion, ou s'éloigner vers une irréligiosité actuellement très répandue, voire décéder sans être pris en compte.

C'est néanmoins la seule approche qui puisse permettre d'obtenir des données numériques vérifiables, en s’appuyant sur les chiffres donnés par les paroisses, et les différents experts qui interviennent sur ce sujet doivent évidement croiser et corriger ces données. Les résultats que donnent trois études sérieuses que nous connaissons varient cependant du simple au triple comme je le dis en titre de ce chapitre.

- L'intéressante étude globale sur le Christianisme dans le monde faite par The Pew Research Center, dont nous avons déjà parlé, estime à 370 000 le nombre des "Orthodoxes" chalcédoniens et non-chalcédoniens. Eu égard à l'importance de l'Eglise arménienne et des autres "Chrétiens historiques" (1), les Orthodoxes chalcédoniens représenteraient environ la moitié de ce chiffre soit 175 000.

- Le très officiel Rapport Machelon de 2006 (1), auquel participait Monsieur Jean-François COLOSIMO, professeur à l’Institut de théologie Saint-Serge, et qui auditionna Monseigneur EMMANUEL, président de l'AEOF, évalue les membres de l’Église orthodoxe à 300 000.

- Enfin "l'Annuaire de l’Église Orthodoxe de France" (2) écrit dans l'introduction à sa nouvelle édition (octobre 2013): "alors qu’à la fin du XIXe siècle, on estimait à 20 000 le nombre d’orthodoxes en France, ce nombre, en 1990, était évalué à 200 000. Aujourd’hui, suite aux récents apports d’une immigration diversifiée, la France compterait de 400 000 à 500 000 baptisés orthodoxes". Il ne donne pas de précision sur la méthode qui permet d'avancer ces chiffres…

Il serait certainement possible d'aller plus loin en faisant une enquête auprès des clercs et des paroisses: cela pourrait faire l'objet d'un mémoire de sociologie parrainée par l'AEOF…

ORTHODOXIE DIVERSIFIEE ET ADAPTEE
(D'après l'introduction à "l'Annuaire de l’Église Orthodoxe de France" cité ci-dessus)

L’Église Orthodoxe en France, s’est structurée à partir des différentes vagues d’émigration, provenant de pays majoritairement orthodoxes. Ce sont principalement l’émigration russe dans les années 1920, et grecque après 1922, qui ont entraîné un afflux de fidèles nécessitant la création de paroisses et de diocèses. Puis il y eu le vagues successives de la fin du XXe siècle qui démultiplièrent les juridictions. Ces nouveaux fidèles viennent de l’ancienne Union Soviétique, de Roumanie, des pays issus de l’ancienne Yougoslavie, et du Moyen-Orient. A ces fidèles d’origine étrangère s’en ajoute un nombre croissant d’origine française, ayant découvert la foi dans l’Église orthodoxe.

L’origine nationale des fidèles explique qu’une bonne partie des paroisses utilisent, dans les célébrations, la langue liturgique de leurs « Églises-mères » : grec, slavon, roumain, serbe, géorgien, arabe.

Toutefois, le nombre de communautés utilisant le français dans la liturgie et la catéchèse est en croissance continue. C’est en 1927 à Paris, que fut créée la première paroisse de langue française : la paroisse de la Transfiguration et de Sainte Geneviève, confiée au père Lev Gillet. D’autres communautés suivirent, très minoritaires pendant longtemps. Depuis les années 1970, de nouvelles paroisses francophones ont vu le jour, non seulement à Paris, mais sur l’ensemble du territoire. Elles sont devenues majoritaires aujourd’hui, répondant aux besoins pastoraux de fidèles français, mais aussi des enfants et petits-enfants d’immigrés, de plus en plus intégrés à la société française.

ON COMPTE EN FRANCE ENVIRON 240 PAROISSES, une bonne vingtaine de communautés monastiques, deux écoles de théologie, des organisations comme la Fraternité Orthodoxe, et de nombreux mouvements de jeunesse. Les prêtres et les diacres, au nombre d’environ 300, sont en majorité mariés et exercent le plus souvent une activité professionnelle.

Les paroisses se regroupent en diocèses dépendant de patriarcats situés en Europe Orientale ou au Moyen-Orient. Pour institutionnaliser les relations des diocèses ayant juridiction en France, un Comité Interépiscopal orthodoxe fut créé en 1967, dont l’une des missions était de permettre aux juridictions canoniques d’adopter des positions communes dans les relations œcuméniques. En 1997, lui a succédé l'Assemblée des Évêques Orthodoxes de France (A.E.O.F), instance de concertation entre évêques. Pour les problèmes communs, elle assume le rôle de porte-parole de l’épiscopat orthodoxe en France. A cette date sont membres de « l'Assemblée des Évêques Orthodoxes de France » :
- Le métropolite Emmanuel,
- l'archevêque Job., de l’Exarchat Russe, (tous deux dépendant du patriarcat de Constantinople) ;
- l’évêque vicaire Ignace du patriarcat d'Antioche ;
- l'archevêque Nestor du patriarcat de Moscou ;
- l'évêque Luka du patriarcat de Serbie ;
- le métropolite Joseph
- l’évêque vicaire Marc du patriarcat de Roumanie ;
- l'archevêque Michel de l'église Russe hors frontières-patriarcat de Moscou
- et enfin, le métropolite Abraham du patriarcat de Géorgie.


Les communautés ressortissantes des Églises de Bulgarie et d'Ukraine dépendent d'évêques résidant à l'étranger. Chaque laïc orthodoxe, s’il veut être authentiquement orthodoxe, est censé être rattaché à l’une des paroisses ou communautés dépendant de l’un des membres de « l’Assemblée des Évêques Orthodoxes de France », eux-mêmes membres du synode de leur patriarcat respectif.

Des Eglises dissidentes, dites non-canoniques comportent des groupes plus ou moins importants et ne dépendent aucunement d’un patriarcat orthodoxe. Ils compteraient en tout de trente à cinquante paroisses qui s'ajoutent au 240 ''paroisses canoniques'' reprises dans l'annuaire

A ce sujet, l'Assemblée des Évêques Orthodoxes de France met en garde contre l’utilisation abusive du nom d’Église Orthodoxe : « L’ecclésiologie orthodoxe est une ecclésiologie de communion qui se manifeste dans l’unité de la foi et du calice, attestée par la succession apostolique et la conciliarité des évêques. Concernant la France, les Églises orthodoxes canoniques sont représentées par tous les évêques qui sont membres de l’Assemblée des évêques orthodoxes de France. Elle seule est habilitée à manifester l’unité et la canonicité de l’Église orthodoxe dans ce pays. En conséquence, toute personne se prétendant « évêque orthodoxe » sans être en communion avec ladite Assemblée ne peut se prévaloir d’un statut canonique orthodoxe en France. L'Assemblée des Évêques Orthodoxes en France tient donc à mettre en garde les personnes dont la bonne foi pourrait ainsi se trouver surprise et déclare que la responsabilité de l’Église orthodoxe en France ne saurait être aucunement engagée par les activités ou les déclarations de toute personne ou de tout groupe n’étant pas en communion avec elle ».

C’est seulement par son appartenance à une communauté sous la juridiction d’un évêque canonique que le fidèle participe à la plénitude de l’enseignement et de la vie de l’Église. Comme le dit l’archimandrite Placide Deseille, l’Église « demeure une, représentée par toutes les Églises locales, qui demeurent en communion entre elles et avec les grands patriarcats et centres de communion ecclésiastiques restés fidèles à la foi orthodoxe. C’est pourquoi nous devons tenir à cette communion ecclésiastique comme à la prunelle de nos yeux, nous devons avoir la passion de cette unité dans l’Église ».

UNE ORTHODOXIE OUVERTE
(D'après Olivier CLÉMENT, extrait de "L'Orthodoxie en France", 24 mai 2001)

Après des années d'incertitude liées à l'affaiblissement biologique de l'émigration russe, une relève se précise maintenant avec une pléiade d'hommes jeunes dont -signe des temps -aucun n'est d'origine russe. [...]

L'avenir reste précaire, comme le souligne la situation en province. Les prêtres manquent, ou sont insuffisamment formés. [...] Paradoxalement, dans une Eglise qui met si fortement l'accent sur la vie liturgique, beaucoup de paroisses de la province plus lointaine n'ont qu'une liturgie eucharistique par mois, ne parviennent pas à disposer d'un chœur, manquent de toute catéchèse. Seuls, le renforcement et l'action vraiment commune de l'Assemblée des évêques pourront remédier à cette situation.

Mais le véritable problème pour les orthodoxes en France est de parvenir à se situer, aussi bien par rapport aux Eglises dont ils sont originellement issus que par rapport aux traditions culturelles et religieuses de la France.

Globalement, en ce qui concerne le premier aspect du problème, on peut dire que ce que l'on a appelé, d'une manière vague et commode, "l'école de Paris" a su unir le sens de la Tradition et celui d'une libre recherche, a su mettre au service de l'orthodoxie les vertus Intellectuelles de l'Occident. Cette "école" a compris la situation nouvelle des chrétiens dans une société sécularisée et, loin d'avoir peur ou de maudire, elle a vu dans cette situation l'appel à une foi plus consciente, plus personnelle, discrètement rayonnante. . [...] Plus largement, c'est bien d'une telle orthodoxie que nous sommes amenés à porter témoignage, au moment où tant d'Eglises locales accentuent l'autocéphalisme, le ritualisme et la xénophobie.

Référence:
(1) Cf.: Rapport Machelon de 2006 "Les chrétientés historiques (environ 750 000 personnes)connaissent un élargissement notable, tout en gardant une représentation éclatée. À l’Église orthodoxe (estimée à 300 000 membres), et à l’Église apostolique arménienne (même ordre de grandeur), il faut ajouter les fidèles que comptent les diverses Églises orientales indépendantes ou unies à Rome (copte, syriaque, chaldéenne, maronite, etc.)."

(2) Cet remarquable annuaire édité par le monastère de Cantauque est une ressource unique pour l'Orthodoxie française (http://www.monastere-cantauque.com/publications-et-traductions/annuaire-assemblee-eveques-orthodoxes-france/). Il comprend:
- Une carte des lieux de culte orthodoxe en France (45 x 55 cm)
- La présentation de l'Assemblée des Évêques Orthodoxes de France.
- Les évêchés des différentes juridictions
- La liste des 220 lieux de culte, par départements et par juridictions.
- La liste des 300 prêtres et diacres et leurs coordonnées.
- Les monastères et les écoles de théologie.
- Les mouvements, les institutions et les médias.
- Les librairie et les ciergeries
- La liste des clercs aumôniers
- Les ateliers de chant liturgique et d’iconographie.
- Séminaire orthodoxe russe - Maison Sainte-Geneviève

Publié en 2014 sur http://www.egliserusse.eu/blogdiscussion/L-Eglise-orthodoxe-en-France-aujourd-hui_a3510.html?com#comments
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